Actualités du crédit immobilier - Page 27

L’activité immobilière varie en fonction des saisons. L’été est d’ailleurs la saison des achats immobiliers « coup de coeur ». Mener à bien son projet d’acquisition estival est le gage d’un emménagement avant la fin de l’année.

Posséder une résidence secondaire…. quoi de mieux que d’avoir un « chez soi » pour se ressourcer ! Faut-il profiter des taux bas pour investir dans une maison de vacances d’été ?

L’observatoire Crédit Logement / CSA a confirmé la baisse des taux de crédits immobiliers à un plancher jamais vu. En juin, ils ont atteint 1,25% toutes durées confondues, soit un niveau de plus de 4 fois inférieur à celui des années 2000.

Si l’année 2018 avait enregistré 985 000 ventes immobilières, la barre du million de transactions semblerait pouvoir être à nouveau frôlée en 2019. C’est en tout cas l’opinion de Jean-Marc Torrollion, président de la Fnaim qui table sur une croissance du marché de 2,6 %.

L’analyse des données du réseau Century 21 indique une (toute) petite baisse de prix à Paris (-0,9% sur trois mois), une première depuis 2015. Feu de paille ou tendance de fond ?

L’acquisition d’un logement neuf nécessite certes de s’armer de patience : entre le moment de l’achat et la remise des clés, il s’écoule en moyenne un délai d’un an et demi à deux ans. Mais quels avantages à la clé !

Les volumes de transactions enregistrées par le réseau immobilier Century 21 atteignent des niveaux record avec une augmentation de 10,5% en un an et voient le retour des jeunes ménages modestes et du placement locatif.

Plus élevés en PACA, mais en plus forte progression sur la côte Atlantique, les prix de l’immobilier des résidences secondaires dépendent de leur localisation sur le littoral et de la distance de la plage.

Le contexte de taux bas pour les prêts immobiliers s’accompagne également par un net assoupissement des critères d’octroi qui retrouvent les niveaux observés en 2007 2008. La durée des prêts et le taux d’endettement sont à la hausse. La Banque de France reste vigilante quant à leur évolution.

En 2018, les charges de copropriété ont progressé de 3,1% sur l’ensemble de la France. Cette tendance va se poursuivre en 2019. Ces charges de copropriété doivent être estimées avant d’acheter car elles auront une réelle incidence sur le budget « reste à vivre » du futur propriétaire.

En cette période estivale où le crédit immobilier est toujours très bon marché, négocier le volet assurance de son prêt va se révéler riche en économies. L’assurance-emprunteur pèse lourd : entre 30 % à 40 % du coût total d’un prêt. La loi Bourquin permet de la résilier annuellement.

Le marché immobilier qui vient de vivre trois années record  successives – 2016, 2017 et 2018 – semble bien parti sur cette même voie en 2019. Baisse continue des taux et ralentissement de la hausse des prix sont les points clés pour décrypter ce marché.

Inédit : la France emprunte sur 10 ans à des taux négatifs, ce qui impacte favorablement les taux d’intérêt des crédits immobiliers, déjà à un niveau bas historique.

Le gouvernement a annoncé une « remise à plat » de ces aides et son souhait de les recentrer sur les ménages les plus modestes.

Selon l’Observatoire de l’habitat 2019, les villes moyennes sont prises en étau entre métropolisation et périurbanisation et pâtissent de cette situation où les constructions neuves sont privilégiées.

Selon une étude du réseau immobilier international Savills, dans la Principauté, le prix de vente moyen des logements de luxe atteint 48 800 €/m² contre « seulement » 14 500 €/m² à Paris. Monaco dépasse même Hong-Kong.

Les futurs bacheliers vont devoir trouver rapidement des solutions de logement loin du domicile familial. Acheter ou louer, quelle est la meilleure option ?

Acheter un bien immobilier se fait dans la quasi-totalité des cas via une banque en contractant un crédit. La banque demande alors systématiquement à l’emprunteur de souscrire une assurance, qui peut choisir celle de la banque ou celle d’un assureur indépendant.

Malgré l’envolée des prix de l’immobilier en Europe, l’agence de notation Moody’s n’anticipe pas une prochaine bulle immobilière, ni une dégradation de la solvabilité des acheteurs. Le risque est l’exclusion des jeunes acheteurs.

Le mois de mai confirme la vitalité immobilière dans les dix plus grandes villes de France. Avec un nombre d’acquéreurs en hausse et des prises de décisions plus rapides, les prix s’y sont envolés. La moyenne des prix au m² en France est de 2 555 € (+0,4%).

Le taux d’intérêt moyen des crédits immobiliers a atteint en mai un niveau exceptionnel en France : 1,29%, soit nettement moins que le plancher historique à 1,33% de novembre 2016 ! Ces taux bas facilitent l’accès au crédit aux primo-accédants.

Selon les derniers chiffres fournis par les notaires, les prix ont continué de grimper de 6,4% à Paris contre « seulement » 3% sur un an en France. Les acheteurs franciliens ont un budget de 400 K€.

L’assurance emprunteur pèse de plus en plus significativement dans le coût global d’un crédit immobilier, surtout lorsque les taux sont aussi bas qu’actuellement. La (re)négocier peut être source d’économies importantes.

Selon les données des notaires, 985.000 transactions immobilières ont été enregistrées dans l’ancien sur un an fin mars. Les prix reflètent cet engouement.