Le marché immobilier d’après confinement doit faire face à des projets de déménagements mais aussi une érosion de la capacité de financement des ménages. Un contexte propice à la location.
La crise sanitaire n’a pas épargné l’immobilier de prestige et ses prix devraient stagner voire baisser. Mais son statut de valeur refuge et la solvabilité de sa clientèle lui garantissent de meilleurs lendemains.
Le marché immobilier a retrouvé un semblant de normalité avec le déconfinement, mais des règles sanitaires strictes s’appliquent aux visites et aux états des lieux notamment.
Si l’État n’a imposé aucune annulation ou report des loyers, ce sont les bailleurs eux-mêmes qui pourraient décider de réviser les montants pour coller à l’évolution du marché locatif d’après crise sanitaire.
Les villes moyennes à moins de deux heures de Paris pourraient profiter de l’attrait pour l’immobilier vert après le déconfinement. Elles offrent un cadre de vie plus agréable et des biens plus abordables.
Avec la baisse des revenus engendrée par la crise sanitaire, le report d’échéance de prêt immobilier est perçu comme une véritable bouffée d’oxygène. Il faut cependant bien calculer les coûts.
Il est encore possible d’investir en Pinel dans une maison en 2020. C’est la possibilité pour l’investisseur de construire précisément le bien qu’il imagine – et qu’il projette d’occuper à l’issue de l’investissement.
Une étude SeLoger/OMI indique que la majorité des acquéreurs envisage de mener son projet immobilier à terme après le confinement. Ils composeront avec un budget inchangé et espèrent une baisse des prix.
L’immobilier a mieux résisté à la crise sanitaire que les placements financiers, en raison de sa solidité dans l’esprit des investisseurs sur le long terme. Le ralentissement des transactions n’impactera pas les prix dans les mêmes proportions que la Bourse.
Face à un marché immobilier locatif tendu, la demande de logements en colocation augmente, non plus chez les seuls étudiants, mais chez les actifs aussi. Une opportunité à saisir pour les investisseurs en Pinel.
La crise sanitaire devrait entrainer une baisse des prix dans l’immobilier, mais aussi un volume plus important de biens en vente et peut-être même un bond de la demande pour les maisons.
Les particuliers ayant effectué un investissement locatif sont exposés au risque d’impayé de loyer durant cette crise sanitaire. Si le dialogue est à privilégier, l’assurance, la caution et la justice peuvent être activés.