Actualités du crédit immobilier - Page 23

La crise sanitaire n’a pas épargné l’immobilier de prestige et ses prix devraient stagner voire baisser. Mais son statut de valeur refuge et la solvabilité de sa clientèle lui garantissent de meilleurs lendemains.

Le marché immobilier a retrouvé un semblant de normalité avec le déconfinement, mais des règles sanitaires strictes s’appliquent aux visites et aux états des lieux notamment.

Si l’État n’a imposé aucune annulation ou report des loyers, ce sont les bailleurs eux-mêmes qui pourraient décider de réviser les montants pour coller à l’évolution du marché locatif d’après crise sanitaire.

Les villes moyennes à moins de deux heures de Paris pourraient profiter de l’attrait pour l’immobilier vert après le déconfinement. Elles offrent un cadre de vie plus agréable et des biens plus abordables.

Avec la baisse des revenus engendrée par la crise sanitaire, le report d’échéance de prêt immobilier est perçu comme une véritable bouffée d’oxygène. Il faut cependant bien calculer les coûts.

Il est encore possible d’investir en Pinel dans une maison en 2020. C’est la possibilité pour l’investisseur de construire précisément le bien qu’il imagine – et qu’il projette d’occuper à l’issue de l’investissement.

Une étude SeLoger/OMI indique que la majorité des acquéreurs envisage de mener son projet immobilier à terme après le confinement. Ils composeront avec un budget inchangé et espèrent une baisse des prix.

L’immobilier a mieux résisté à la crise sanitaire que les placements financiers, en raison de sa solidité dans l’esprit des investisseurs sur le long terme. Le ralentissement des transactions n’impactera pas les prix dans les mêmes proportions que la Bourse.

Face à un marché immobilier locatif tendu, la demande de logements en colocation augmente, non plus chez les seuls étudiants, mais chez les actifs aussi. Une opportunité à saisir pour les investisseurs en Pinel.

La crise sanitaire devrait entrainer une baisse des prix dans l’immobilier, mais aussi un volume plus important de biens en vente et peut-être même un bond de la demande pour les maisons.

Les particuliers ayant effectué un investissement locatif sont exposés au risque d’impayé de loyer durant cette crise sanitaire. Si le dialogue est à privilégier, l’assurance, la caution et la justice peuvent être activés.

Le gouvernement a pris plusieurs mesures dans le secteur de l’immobilier pour faire face à la crise sanitaire. Des mesures qui impactent les transactions immobilières et le logement.

Comme tous les secteurs de l’économie, le crédit immobilier tourne au ralenti pendant le confinement. Même depuis chez soi, il est toujours possible d’être accompagné et conseillé dans vos démarches.

Investir dans un bien ancien à rénover permet à la fois de faire une acquisition à un bon prix, de bénéficier d’un avantage fiscal et de proposer un logement plus attractif sur le marché locatif.

Les professionnels de l’immobilier ne souscrivent pas à l’idée d’une chute des prix suite à la pandémie de coronavirus. Ils anticipent une baisse à court terme, mais croient dans le caractère immuable de la pierre.

La constitution d’une société civile immobilière (SCI) est recommandée pour investir dans l’immobilier à plusieurs ou gérer un patrimoine. Souplesse dans l’organisation et fiscalité avantageuse font partie de l’équation.

Un particulier peut s’appuyer sur plusieurs professionnels tout au long de son projet immobilier afin d’optimiser ses chances de réussir son investissement locatif, de l’agent immobilier à l’expert-comptable en passant par le courtier.

Le choix d’investir dans une location meublée touristique permet de bénéficier des avantages des courtes durées réputées plus rentables, mais confronte aussi à un cadre plus contraignant.

La génération Y est prête à acheter très rapidement dans l’immobilier pour sécuriser sa situation. La pierre constitue à ses yeux une valeur refuge, mais le logement doit néanmoins s’adapter à ses modes de vie.

La pandémie de coronavirus affecte l’activité du marché immobilier et promet de freiner les transactions durant la période de confinement. Néanmoins, le secteur s’en relèvera mieux que d’autres car les projets sont davantage différés qu’annulés.

L’investissement locatif en Denormandie octroie une déduction fiscale et donne accès à une rentabilité nette attractive, pouvant dépasse les 4%. Une bonne raison d’investir dans l’ancien à rénover dans des villes moyennes.

Une étude Xerfi Precepta table sur une baisse des transactions dans l’immobilier ancien et une hausse des prix davantage contenue en 2020 et 2021. Elle s’appuie sur des taux du crédit immobilier en stagnation.

L’investissement immobilier n’est pas réservé aux actifs, les retraités peuvent aussi miser sur la pierre. Mais le poids de l’assurance emprunteur peut les rebuter. Il existe néanmoins des alternatives pour financer une acquisition.

L’investissement immobilier en direct demeure largement majoritaire auprès des particuliers, mais la SCPI lui oppose de sérieux arguments en termes de rentabilité et de facilité d’accès.