Immo : l’attractivité des stations balnéaires bretonnes

La Bretagne attire les acquéreurs

Année après année, la Bretagne attire. Le marché immobilier breton continue de voir sa cote grimper à un rythme encore plus soutenu depuis la crise sanitaire. Du côté du littoral, les prix s’envolent.

Rebond sur l’ensemble du marché en Bretagne

La Bretagne connaît un fort rebond depuis plus de deux années. Des villes bretonnes comme Rennes ou Brest ont ainsi connu des hausses significatives. À titre d’exemple, on relève sur la période une augmentation de 12 % pour une maison dans la métropole rennaise.

L’impact de la crise sanitaire sur l’investissement immobilier est à l’image du marché breton : davantage de surface, des espaces extérieurs avec un jardin ou une terrasse, l’ensemble pour des tarifs nettement plus abordables qu’en région parisienne. Cet engouement s’explique également par le développement du télétravail ainsi que l’accessibilité de la région. En effet, la récente ligne à grande vitesse a accéléré l’attractivité de la Bretagne pour les Franciliens. En mettant Rennes à 1h30 de la capitale, il est tout à fait possible de vivre en Bretagne tout en travaillant pour une entreprise localisée en Île-de-France.

Les stations balnéaires bretonnes pulvérisent des records

En quête d’un cadre de vie bien plus agréable qu’à Paris, de nombreux Franciliens se tournent vers la façade ouest et notamment les côtes bretonnes. Du golfe du Morbihan à la Côte de Granit rose, le littoral breton abrite des pépites. Les résidences sont particulièrement recherchées. Les stations prisées de bord de mer pulvérisent des records et l’on enregistre une hausse des prix de +13,5 % en deux ans et +7,2 % ces douze derniers mois. Parmi les stations balnéaires les plus chères, on retrouve :

  • La Trinité-sur-Mer avec des prix moyens au mètre carré d’environ 5 200 € ;
  • Dinard et Carnac qui affichent des prix aux alentours de 4 500 €/m2 ;
  • Larmor-Baden avec environ 3 950 €/m2.

Un marché immobilier breton porté par des taux historiquement bas

La pandémie ainsi que les taux d’emprunt toujours bas ont incité de nombreux acquéreurs à s’orienter vers des villes moyennes où il fait bon vivre. Il faudra compter environ 355 000 € pour une maison de 113 m2 à Dinard et 330 000 € pour une résidence de 5 pièces à Auray. Avant de rechercher un bien à acquérir, il est conseillé d’évaluer sa capacité d’emprunt. Il est possible de découvrir gratuitement et sans engagement combien il est possible d’emprunter grâce à un simulateur de crédit. Un courtier spécialisé en crédit immobilier peut également se charger de la recherche de financement au meilleur taux et aux meilleures conditions.

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