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En moyenne, on emprunte aujourd’hui (hors assurance) autour de 1,15% sur 10 ans, 1,40% sur 15 ans, 1,60% sur 20 ans et 1,85% sur 25 ans. Des décotes sont cependant largement négociables, avec le plus souvent des taux encore plus bas de 0,15 point, soit à l’arrivée 1% sur 10 ans, 1,25% sur 15 ans, 1,45% sur 20 ans et 1,70% sur 25 ans (source Bourse.com).
Pas d’apport et des durées d’emprunt longues, c’est possible
Autre facteur positif : les banques sont beaucoup plus flexibles sur le niveau de l’apport exigé, un point autrefois bloquant puisqu’il était nécessaire de disposer d’un apport de 10%. Or, depuis quelques mois, les banques multiplient les offres à 110% pour les jeunes emprunteurs. Cela permet d’emprunter sans apport en finançant même les droits de mutation payés chez le notaire.
Et pour accompagner les jeunes emprunteurs face à la hausse des prix, les durées d’emprunt longues se généralisent pour coller à des budgets d’acquisition en augmentation. Les prêts sur 25 ans deviennent ainsi les plus utilisés par les primo-accédants avec des taux très attractifs. Il est désormais fréquent d’obtenir 1,70% sur cette durée, un taux supérieur de seulement 0,15 à 0,2 point aux barèmes sur 20 ans.
Pas de hausse pour les taux
Ce contexte de taux très bas semble encore appelé à durer, au moins jusqu’à la fin de l’année. A ce jour, il n’y a pas de réelles menaces de remontée des taux à court terme. Les banques continuent à bénéficier de conditions de refinancement très attractives (les OAT 10 ans, indicateur de référence pour les crédits immobiliers, restent autour de 0,7%). Et elles maintiennent toujours une politique commerciale sur un marché en forte concurrence avec des objectifs ambitieux alors qu’il ne leur reste que quelques mois pour les atteindre et honorer ainsi leur production de crédits de 2018.