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Mais de l’autre côté, les prix immobiliers dans l’ancien n’en finissent plus de grimper plus ou moins sagement, 3,9% sur un an au troisième trimestre d’après la dernière note de conjoncture des notaires établie en octobre 2017. Cette hausse enregistrée de juillet à septembre a tendance à s’amplifier et se révèle plus forte pour les prix des appartements (+5,1%) que pour ceux des maisons (+3,1%). La hausse est cependant moins marquée en province : +3,6%.
Sur tout le territoire national
Au niveau des principales villes de province en appartements anciens, comme le trimestre dernier, Dijon affichent une baisse (-3,5 % sur un an). À Saint-Etienne (-0,7 %), Le Havre (-0,1 %) et Orléans (-0,1 %), les prix se stabilisent. Dans les autres villes, les prix augmentent. Bordeaux affiche toujours la hausse la plus importante avec +12,1 % sur un an. Suivent Le Mans (+8,7 %), Rennes (+8,6 %), Brest (+8,5 %), Rouen (+8 %) et Nantes (+7,8 %).
Dans les principales agglomérations de province en maisons anciennes, les prix sont majoritairement en hausse. Comme en appartements, Bordeaux (+9,8 %) et Le Mans (+9,6 %) enregistrent les progressions les plus importantes, suivies par Nancy et Orléans avec +8 % sur un an.
Qui impacte à la marge le pouvoir d’achat
Dans le même temps, les conditions de crédit actuelles encore avantageuses soutiennent toujours la réalisation des projets immobiliers des ménages via un allongement, pourtant déjà élevé (219 mois en moyenne en novembre 2017), de la durée des prêts octroyés.