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Du fait d’une conjoncture économique pour le moins tendue, marquée par une absence d’augmentation des revenus et un taux de chômage en progression, les jeunes sont les premiers à hésiter à souscrire un emprunt immobilier. Selon la Fédération nationale de l’immobilier (Fnaim), cette frilosité des primo-accédants pour acheter leur résidence principale explique en partie la stabilité en volume des transactions financière enregistrées en 2014, environ 720 000.
La conséquence est que cette année le pourcentage des primo-accédants parmi la totalité des acquéreurs est d’environ 34 % alors qu’il était de 55 % en 2011.
Les banques dans ce contexte rivalisent d’arguments pour attirer de nouveaux clients, en misant notamment sur le crédit immobilier. C’est sans aucun doute l’un des meilleurs moyens de fidélisation des clients à long terme. La banque a tout le loisir ensuite de leur vendre des services annexes du type : assurances, cartes bancaires, placements etc.
Cette stratégie visant à attirer de nouveaux emprunteurs coûte que coûte, se traduit par l’octroie de prêts à taux bonifiés.
Une Caisse d’épargne régionale propose par exemple un prêt à taux zéro de 30.000 euros pour un couple par tranche de 100.000 euros empruntés.
Le Crédit Mutuel de Bretagne propose lui 1 % de taux de crédit sur 20 ans, sur un montant emprunté allant jusqu’à 10 % de la totalité du crédit.
Le Crédit Agricole, la BNP, la Banque Postale rivalisent d’offres attractives, enfin, certaines d’entre elles ont conçue des offres spécifiques pour les jeunes : en moyenne 0,18 point de décote pour les emprunteurs n’ayant pas encore atteint l’âge de 40 ans à la BNP Haute Bretagne.
La Banque Postale accordant à ceux n’ayant pas encore atteint l’âge de 36 ans, en moyenne 0,15 point de décote.