Le moment pour acheter ? La baisse des taux immobiliers amorcée depuis plusieurs semaines se poursuit en novembre. Une excellente nouvelle pour les candidats à l’emprunt immobilier qui […]
Dans la plupart des cas, lors de l’achat d’un bien immobilier, à fortiori lorsque c’est le premier, le financement se fait par un emprunt, avec (c’est recommandé) ou sans apport personnel. La difficulté est alors de savoir et pouvoir choisir la meilleure offre de crédit immobilier la moins chère en étant sûr d’avoir toutes les cartes en main.
Faire jouer la concurrence
La concurrence entre les banques pour ce type de prêt est telle qu’il faut savoir en jouer et là, le recours à un prestataire tel qu’un courtier en crédit immobilier comme acecredit va être d’une grande aide pour le montage du dossier de demande de financement et le décryptage des propositions bancaires pour choisir la meilleure offre en fonction de la situation et des contraintes de l’emprunteur.
Pour faire simple, un bon emprunt, c’est à la fois : une mensualité et une durée d’emprunt adaptées, un taux d’intérêt le plus bas possible et des frais annexes raisonnables avec des garanties de qualité. Pour les banques, le remboursement mensuel du crédit ne doit pas dépasser théoriquement 33% des revenus mensuels de(s) l’emprunteur(s). Le montant maximum d’endettement est calculé au cas par cas, de façon à laisser à l’acquéreur suffisamment de moyens financiers pour continuer à vivre, ce qu’on appelle d’ailleurs le « reste à vivre ».
Environ 50% des emprunts sont remboursés avant la fin du prêt
Effectivement, il arrive très souvent que la revente d’une première acquisition finance toute ou partie l’achat d’un deuxième bien immobilier. Dans le cas d’une revente d’un logement avant la fin théorique du crédit immobilier contracté pour le financer, la banque demande le paiement d’une indemnité de remboursement anticipé dont le montant est plafonné à la valeur d’un semestre d’intérêts au taux moyen du prêt (au maximum 3% maximum de la somme encore due). Lors de la signature du contrat de prêt initial, il est possible de négocier une réduction ou même la suppression de ces frais liés au remboursement anticipé.
Un point impératif à négocier : l’assurance emprunteur
Tout crédit immobilier doit être assuré. La banque va en effet vouloir garantir et sécuriser son opération de financement via une assurance qui n’est plus la sienne obligatoirement. L’assurance prendra en charge le remboursement total ou partie des mensualités du prêt de l’emprunteur en cas de défaillance, notamment pour les risques liés au décès, la perte totale irréversible d’autonomie, l’invalidité et l’incapacité de travail. Mal négociée, cette assurance peut coûter très chère. Un courtier en crédit immobilier saura aussi faire jouer la concurrence pour obtenir la meilleure couverture à un tarif compétitif.