Revue de presse immobiliere

Les courtiers s’imosent comme des interlocuteurs privilégiés, mais qui sont-ils ? Sur le papier, ils doivent simplifier vos démarches et négocier les meilleures conditions d’acquisition. Joël Boumendil fait le point sur les méthodes qu’emploient ces professionnels pour négocier avec les banques.

L’agence ACE de Rodez a été inaugurée le 26 mai en présence de Christian Teyssèdre, maire de Rodez. Nicolas Gandrille et sa collaboratrice, Marlène Geniez, sont installés 54 rue Saint-Cyrice.

Les banques acceptent à nouvea, depuis quelques mois, d’accorder des prêts relais. ACE démontre, selon ses données, qu’il a obtenu trois fois plus de crédits relais sur la seconde moitié de l’année qu’en sur les 6 premiers mois. De plus, elles financent jusqu’à 80% de la valeur du bien mis en vente contre 60% au mieux au plus fort de la crise.

Si vous êtes déjà endetté, tentez de renégocier votre prêt. Et, si vous n’avez pas de temps à perdre, passez par un courtier spécialisé comme ACE.

Les relais « secs » sont assez rares : peu rentables pour elles, ils sont plutôt considérés comme un « service » rendu aux meilleurs clients. Pour un prêt-relais jumelé, les banques sont de plus en plus regardantes, si le bien se revendra rapidement et bien, elles peuvent avancer jusqu’à 80% de la valeur du mandat de l’agent immobilier. Sur un dossier plus tendu, elles ne s’engageront pas au-delà de 65%. Le crédit global, quant à lui, est intéressant pour ceux qui achètent sur plan (Vefa) et s’installeront dans leur logement plusieurs mois après.

« Certaines promesses électorales-comme la déduction des intérêts d’emprunt pour l’achat de la résidence principale-incitent les acheteurs à différer leur acquisition dans l’attente des résultats » souligne Joël Boumendil, à la tête de la société de courtage en prêts immobiliers ACE.

Selon Joël Boumendil, les agences de courtiers accompagnent leurs clients tout au long de la transaction. Les intermédiaires en ligne ne font que transmettre directement aux banques. Ils peuvent tout négocier, y compris les pénalités en cas de remboursement anticipé, l’assurance… Leurs services ne coûtent pas plus cher que les frais de dossier que demanderait une banque.

Selon Joël Boumendil, les taux sont actuellement très bas, à 3,60% sur 20 ans. A cela s’ajoute la baisse des tarifs des assurances. De ce fait, les acquéreurs se trouvent resolvabilisés et ont de nouveau confiance. Le marché de l’immobilier repart, il commence même à y avoir une pénurie de produits à vendre.

L’année 2010 démarre bien pour les emprunteurs. D’après ACE  » le taux moyen, sur 20 ans est passé de 5% au quatrième trimestre 2008 à 3,95% au dernier trimestre 2009 et le doublement du prêt à taux zéro pour le neuf ont contribué à relancer le marché ».

Depuis mai, les banques prêtent de nouveau. « Les établissements sont venus nous voir avec un message clair : nous sommes en retard sur notre production, il nous faut rentrer plus de dossiers », explique Joël BOUMENDIL, PDG du courtier ACE Immobilier au quotidien la Tribune. Le quotidien rappelle que les banques ont baissé leurs taux de 1 point en moyenne en 8 mois.

Joël Boumendil, Président d’ACE est contre : ces dernières années, les taux de crédit étaient si bas, que le taux fixe était forcément attractif, tandis que le variable ne pouvait que remonter. Emprunter à taux fixe, surtout lorsqu’il est relativement bas, c’est l’assurance de ne pas avoir de mauvaise surprise pendant toute la durée de remboursement.

Le crédit immobilier, comment choisir et obtenir le crédit idéal, les bons conseils, les pièges à éviter…Franck Lévy, directeur commercial d’ACE était l’invité d’Arnaud Balme dans l’émission « C Bon à Savoir »