Dans le bassin d’Arcachon, les prix ont grimpé de 40 % en seulement deux ans. Recherchées par les riches acheteurs, les villas au Pyla-sur-Mer ou au Cap […]
En 2004, les prêts à taux révisables représentaient 20% des crédits immobiliers. Ils ne sont plus que 8% aujourd’hui. Joël Boumendil, Président d’ACE insiste sur les deux principaux pièges du révisable :1) ne pas confondre taux maximum et cap : pour un crédit à 3,80%, si le cap est de 2, le taux ne dépassera pas 5,80%. Dans certains contrats, le taux maximum s’applique lui, à la mensualité : ce n’est pas un vrai taux capé. 2) se méfier des taux d’appel : une fois révisé, la facture pourra être salée… Pour se sortir d’un révisable, les solutions existent : négocier les pénalités de remboursement anticipé ou demander à transformer son prêt révisable en prêt à taux fixe. Cette option peut être prévue dans votre contrat de départ ou est négociable avec la banque… ou un établissement concurrent. Dans tous les cas, même si ce rachat de crédit occasionne des frais, il est néanmoins bien souvent la solution la moins onéreuse.