Sandrine Pollet, directrice de l’agence, est interviewée sur MONA FM
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Sandrine Pollet, directrice de l’agence, est interviewée sur MONA FM
Rechercher un contrat d’assurance emprunteur extérieur à sa banque ou établissement de crédit, c’est accéder à une offre plus large et plus personnalisée : « dans un contrat collectif standard, le même forfait est appliqué à tous, quel que soir l’âge et l’état de santé », explique Joël Boumendil, Président d’ACE.
Coûts d’emprunt historiquement bas, prix de l’immobilier en baisse : est-ce le moment d’acheter ? Les conseils de Moneyweek : privilégier le taux fixe, faire jouer la concurrence en faisant notamment appel à un courtier comme ACE, négocier les frais annexes, se constituer un apport personnel.
En 2004, les prêts à taux révisables représentaient 20% des crédits immobiliers. Ils ne sont plus que 8% aujourd’hui. Joël Boumendil, Président d’ACE insiste sur les deux principaux pièges du révisable :1) ne pas confondre taux maximum et cap : pour un crédit à 3,80%, si le cap est de 2, le taux ne dépassera pas 5,80%. Dans certains contrats, le taux maximum s’applique lui, à la mensualité : ce n’est pas un vrai taux capé. 2) se méfier des taux d’appel : une fois révisé, la facture pourra être salée… Pour se sortir d’un révisable, les solutions existent : négocier les pénalités de remboursement anticipé ou demander à transformer son prêt révisable en prêt à taux fixe. Cette option peut être prévue dans votre contrat de départ ou est négociable avec la banque… ou un établissement concurrent. Dans tous les cas, même si ce rachat de crédit occasionne des frais, il est néanmoins bien souvent la solution la moins onéreuse.
Compensation-La mesure de déductibilité des intérêts d’emprunt immobilier inquiète les professionnels…
La loi Lagarde permet aux emprunteurs de choisir librement leur assureur pour l’assurance décès-invalidité. « Un certain nombre de banques jouent désormais le jeu », constate Joël Boumendil, directeur général du courtier ACE. La loi autorise l’établissement bancaire à refuser d’octroyer un prêt à un emprunteur qui aurait trouvé une assurance offrant des garanties différentes de leurs contrats. C’est là la limite de la loi car elle privilégie les contrats collectifs des banques plutôt que les assurances individuelles.
Les banques prêtent à nouveau et font de nouveau des crédits-relais depuis quelques mois. » La crise est derrière nous, affirme Joël Boumendil le président d’ACE, les banques sont moins frileuses que l’année passée et prêtent à nouveau pour les opérations d’achat revente. »
A la veille du salon national de l’immobilier, le courtier en prêt immobilier ACE annonce l’ouverture de cinq nouvelles agences franchisées d’ici mai, dans de nouvelles régions : Lille, Rodez, Thionville, Bourg-en-Bresse et Dijon. « Avec près de 12 nouvelles implantations en 2009, nous avons sans doute le plus important développement du secteur Il se confirme que nous avons la légitimité pour nous déployer en province et atteindre notre objectif de 125 agences », confie Thierry Jover, Directeur du département franchises. « L’Ouest : Bretagne et Normandie et le Sud : Languedoc Roussillon et PACA, sont nos prochains objectifs », ajoute-il.
Les emprunteurs sont de retour chez les courtiers. Ainsi, ACE constate que les clients, quel que soit leur profil, reviennent dans les agences : 50% de primo-accédants, 15% de renégociations de prêts, 15% d’investisseurs, 20% d’achat-revente.
Les banques sont de plus en plus regardantes sur l’octroi de crédit. Après la crise des subprimes aux Etats Unis, les dossiers qui dépassent les 33% d’endettement ne passent plus. Pour Joël Boumendil, cette tendance est surtout liée au manque de solvabilité des candidats, plutôt qu’à une politique plus restrictive des banques. Une solvabilité remise en cause par la hausse des prix et la remontée des taux entamée il y a quelques mois.
Quand on souscrit un crédit immobilier, on se préoccupe rarement du coût,non négligeable de l’assurance décès-invalidité qui lui est attachée…
Les taux de crédit n’ont jamais été aussi bas : » c’est du jamais vu en 25 ans de carrière », s’exclame Joël Boumendil, directeur général de ACE Crédit. Si le taux fixe est privilégie, le taux variable peut s’avérer intéressant si les emprunteurs « attendent une rentrée d’argent par exemple, ou si leur vie familiale ou professionnelle est amenée à évoluer rapidement », détaille Joël Boumendil de ACE Crédit. Mais dans ce cas, la différence de taux doit être de 0,60% au monimum. Enfin, il ne faut pas oublier l’assurance emprunteur qui « peut facilement varier de 0,1% à 0,55% du capital », explique Joël Boumendil.
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