Crédit immobilier : que peut-on vraiment négocier auprès de son banquier ?

Taux d’intérêt, durée, assurances, frais de dossier, apport personnel, pénalités de remboursement anticipé… Les éléments qui entrent en ligne de compte dans la négociation d’un prêt immobilier sont nombreux et parfois complexes.

 

Le premier point de négociation concerne bien entendu le taux du crédit immobilier. Encore faut-il faire choisir entre un crédit à taux fixe ou à taux variable, sachant que celui-ci est intéressant s’il est « capé », c’est-à-dire assorti d’un taux maximum qu’il ne pourra dépasser. Dans tous les cas, pensez à étudier l’option des remboursements modulables : elle permet d’ajuster les remboursements en fonction de votre situation, voire de les suspendre de façon très temporaire.

 

Une fois le taux du crédit immobilier négocié, le second point essentiel à étudier sera celui des assurances. Grâce à la Loi Lagarde, vous n’êtes pas tenu de souscrire à l’assurance proposée par la banque, souvent autour de 0,4%. Si vous êtes jeune et que vous ne fumez pas, la délégation d’assurance auprès d’un autre prestataire pourra vous faire bénéficier de substantielles économies.

 

Concernant maintenant la pénalité de remboursement anticipé, elle n’est pas obligatoire, loin s’en faut ! Il est possible, dans la phase de négociation avec son banquier, d’en demander la suppression. Il s’agit d’une somme non négligeable, qui s’élève à environ 3% du capital restant à rembourser.

 

Enfin, n’oubliez pas de négocier les frais de dossier. Dans certains cas, un taux légèrement plus élevé, sans frais de dossier, peut s’avérer plus économique.

 

Et pour avoir l’esprit tranquille, n’hésitez pas à solliciter l’un des conseillers ACE en crédit immobilier : il ne vous en coûtera pas un euro de plus puisque les frais de dossier du courtier se substituent aux frais de dossier de l’établissement bancaire !

 

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